Même si l’acquisition d’avions-chasseurs F‑35 par le gouvernement du Canada a été annoncée le mois dernier, trois régions de CDC – la capitale nationale, l’Ouest et le Québec – s’y préparent depuis quatre ans.

Deux responsables de CDC pour ce projet, Colleen Nichol, chef de programme à la 4e Escadre Cold Lake, et Véronique Proulx, chef de programme à la 3e Escadre Bagotville, ont travaillé fort pour soutenir la construction du Projet de capacité future en matière d’avions-chasseurs. Ce projet comprend un nouveau super hangar sur chaque site pour accueillir les nouveaux avions à réaction, ainsi que des quartiers généraux opérationnels pour les escadrons d’avions à réaction et des installations de pointe en matière de sécurité, d’informatique, d’entretien et de formation.

« Cette annonce ne nous touche pas immédiatement, a déclaré Véronique. Mais elle nous indique la voie à suivre, car nous savons maintenant avec quel fournisseur nous allons procéder ».

Actuellement, les travaux comprennent l’installation de services publics souterrains pour desservir la nouvelle installation à Cold Lake, ainsi que la réalisation de la première phase de construction à Bagotville, des activités qui s’accompagnent de défis uniques.

« Je suis fière que nous ayons réussi à faire avancer ce projet malgré les restrictions liées à la COVID‑19, a déclaré Colleen. Nous avons réellement appris à travailler ensemble à distance pour faire progresser les choses. »

Ces efforts de collaboration entre le groupe du sous-ministre adjoint (Infrastructure et environnement) au ministère de la Défense nationale et CDC ont permis à l’équipe du projet intégré d’être préparée et bien placée pour répondre aux futurs besoins d’infrastructure de cet important projet.

Avec le début de cette nouvelle phase du projet, les équipes de Cold Lake et de Bagotville se préparent à une activité accrue dans les prochaines années. Colleen a déclaré qu’ils s’attendaient à une conjoncture favorable et à une expansion entraînant de nouvelles possibilités d’emploi sur les deux sites, bien qu’il soit trop tôt pour définir ce à quoi cela ressemblera.

« C’est l’effort déployé par l’équipe du projet intégré qui nous a permis d’en arriver là, a déclaré Véronique. Nous contribuons à façonner les opérations pour l’avenir des Forces armées canadiennes, ce qui est un objectif absolument génial. »



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